Saitou suit un cursus classique universitaire, consacrant beaucoup de son temps à diriger son club étudiant. souvent tourné en bourrique, il est à la fois la mascotte et la tête de turc de ses amis. parmi eux, il y a Ebisawa. Les cheveux courts, des petites lunettes, elle est loin de correspondre à l’idéal des garçons de son âge. Pourtant, Saitou ne parvient pas à la sortir de son esprit. en a-t-il seulement marre qu’elle joue avec lui ou d’autres sentiments sont-ils à l’œuvre ? Bien des évènements vont ponctuer leur vie étudiante et le jeune homme va devoir se confronter à certains choix. Ebisawa est-elle suffisamment heureuse en couple pour qu’il s’efface ? Doit-il aller au bout de ses sentiments ? La jeune femme sait-elle seulement ce qu’elle attend vraiment de Saitou ?



Un tome qui joue a intrigué par sa couverture mais qui au final ne sort pas du lot. Passons sur l’absence de cohérence dans la traduction (Saitou en quatrième de couverture et Saito dans les chapitres entre autres…) qui dénote un certain manque de soin dans l’adaptation du titre…

Ce tome se déroule de manière très classique et comme nous n’avons accès qu’au point de vue du héros, on n’a pas l’impression d’avancer. En effet celui-ci se fait des films en permanences et ne cesse de ressasser les mêmes pensées obsédantes.