En France :
Tome 01 le 04/04/2012
Tome 02 le 13/06/2012
Tome 03 le 26/09/2012
Tome 04 le 09/01/2013
Au Japon
Série en cours : 6 tomes
"Je connais Shakespeare depuis des années ! C'est lui, l'imposteur, pas moi !" À la fin du XVIe siècle, alors que le théatre est considéré comme un loisir vulgaire, et par certains comme un contre-pouvoir corrupteur, un jeune auteur sans éducation est parvenu à attirer l'attention de la cour royale avec des pièces qui brisent les vieilles conventions d'écriture.
Mais derrière ce succès sans précédent se cache un personnage au passé mystérieux. Bienvenue dans un monde de faux-semblants, où chaque rencontre, chaque événement dramatique forme une pièce supplémentaire du puzzle Shakespeare.
Après le monde de la musique dans Beck, Harold Sakuishi s’attaque à la littérature avec un retour sur la vie de Shakespeare, une vie aujourd’hui encore pleine de mystère. Mais dans ce premier tome à l’épaisseur impressionnante, on ne voit guère le grand poète qui fait quelques apparitions dans les premiers chapitres avant de céder la place à un flashback sur celle qui s’annonce comme la réelle héroïne, Li, une jeune fille de Chinatown douée d’un don de prescience qui lui vaut plus de malheurs que d’estime. Difficile donc de savoir quelle direction prendra ce manga.
Graphiquement, Sakuichi n’a jamais été conventionnel, mais si son trait pour dessiner les asiatiques ne choque pas, il en est autrement de sa représentation des occidentaux (ici les anglais) qui semblent disproportionnés, un peu comme la reine de cœur dans la version de Tim Burton d’Alice au Pays des Merveilles. Seul Shakespeare s’en tire à peu près à bon compte, et encore, de manière un peu inégale au début.
Un premier tome qui devient vraiment intéressant quand on se penche sur l’histoire de la jolie et intrigante Li, mais on demande à voir comment la trame sur Shakespeare évoluera.
Après le monde de la musique dans Beck, Harold Sakuishi s’attaque à la littérature avec un retour sur la vie de Shakespeare, une vie aujourd’hui encore pleine de mystère. Mais dans ce premier tome à l’épaisseur impressionnante, on ne voit guère le grand poète qui fait quelques apparitions dans les premiers chapitres avant de céder la place à un flashback sur celle qui s’annonce comme la réelle héroïne, Li, une jeune fille de Chinatown douée d’un don de prescience qui lui vaut plus de malheurs que d’estime. Difficile donc de savoir quelle direction prendra ce manga.
Graphiquement, Sakuichi n’a jamais été conventionnel, mais si son trait pour dessiner les asiatiques ne choque pas, il en est autrement de sa représentation des occidentaux (ici les anglais) qui semblent disproportionnés, un peu comme la reine de cœur dans la version de Tim Burton d’Alice au Pays des Merveilles. Seul Shakespeare s’en tire à peu près à bon compte, et encore, de manière un peu inégale au début.
Un premier tome qui devient vraiment intéressant quand on se penche sur l’histoire de la jolie et intrigante Li, mais on demande à voir comment la trame sur Shakespeare évoluera.
Remerciements à l'editeur KAZE MANGA pour nous avoir fourni ce tome
7 NIN NO SHAKESPEARE © 2010 Harold SAKUISHI / Shogakukan Inc.