« Il faut toujours se méfier des poupées japonaises à la chevelure de jais façon Joconde et aux robes de babydoll… Sur le papier glacé, Esie est un mannequin Tokyoïte devenue chanteuse plutôt mimi ; sur la chaîne Hi-Fi, c’est l’anti-Carla Bruni (…) Esie est devenue l’icône rebelle et dominatrice d’une électro-punk japonaise abrasive et anti-conformiste » Violaine Schütz (Tsugi Magazine)
A l’occasion de la sortie de son 1er Maxi single numérique « Behind my skin » disponible sur iTunes à partir du 17 Avril, ESIE viendra présenter ses titres lors d’une tournée 100% française.
Le single « Invasion » est actuellement offert en téléchargement libre et légal sur le site officiel de l’artiste : www.esie.jp
Qui est Esie ?
ESIE semble sortie tout droit d’un roman de Ryu Murakami, l’auteur de Miso Soup, le pape de la subculture japonaise. Derrière ESIE (apocope de Poésie) se cache une chanteuse qui vient d’avoir vingt ans et qui mène de front une carrière de mannequin et de chanteuse underground. La quintessence de ses titres émane de ses états d’âme à fleur de peau. Une alchimie femme/machines qui remue les tripes.
Côté mode… ESIE a été l’égérie du magazine Non-No, à l’âge de 16 ans, l’équivalent de « Jeune et Jolie » chez nous (http://en.wikipedia.org/wiki/Non-no) Elle a ainsi defilé sur les podiums de Tokyo, et même participé à des publicités pour L’OREAL.
Côté scène... ESIE explore à travers ses textes les thèmes de la domination, la passivité, et la manipulation, mais aussi l’amour maternel, la solitude et le repli sur soi. Elle symbolise une nouvelle génération, antikawaï, l’envers du décor d’une société japonaise où domine le confort à tout prix et de la surconsommation. Son hypersensibilité nous fait frissonner d’émotion (Fallen, I will not sing in the rain), et nous entraîne dans des vertiges intérieurs Kafkaïen (Under my body)
Côté textes... ESIE n’a pas peur de dire : “Je suis moi-même”, dans un pays où l’on encourage plutôt le collectivisme et l’effacement de soi. Elle refuse le machisme, déteste la collectivité, bref, elle est aux antipodes de l’idéal féminin du pays du soleil levant. Un caractère tranché, incarné par une voix allant du son cristallin aux hurlements parfaitement maîtrisés. “Un corps humain peut se transformer en instrument de musique” affirme cette beauté étrange et magnétique.
Côté voix... ESIE est mise en en valeur avec habilité par son producteur Yoshimi Hishida, ancien collaborateur de Takeshi Kitano et Kinji Fukasaku (l’un des maîtres japonais des films de gangsters Yakusa). Les deux artistes revendiquent une influence commune : celle de Akira Miyoshi, musicien culte japonais, pionnier de la rencontre entre musique classique et électronique. Résultat : la musique d’Esie explose tous les codes : passant de ballades ambients et contemplatives, à des titres technos festifs, saturés, bleepés, décalés, allant jusqu’à l’électro punk limite pétage de plombs…Pas étonnant donc que ses nombreux fans sur Myspace la comparent une multitude d’artistes décalés : Bjork, Joy Division, Bauhaus, Siouxsie and the banshee, Brian Eno, New Order, Eurythmics, Depeche Mode, ou encore Marilyn Manson…
Côté Producteur... Yoshimi Hishida Né en 1966 à Tokyo, a fait ses premières armes dans la musique à 18 ans comme saxophoniste dans un groupe de rock. Habitué des studios Tokyoïtes, travaille ensuite sur des bandes originales de films. Pour Takeshi Kitano et Kinji Fukasaku (l’un des maîtres japonais des films de gangsters Yakusa). Il a aussi composé quatre albums, notamment avec le groupe Jobustu Project qui font de lui une des figures de proue de l’électronique nippone. Francophone, Yoshimi est aussi un organisateur de soirées électro françaises à Tokyo pour lesquelles il a déjà invité Mr Oizo, FEADZ, I:Cube, Dj Mehdi, Sir Alice, Birdy Nam Nam, Benjamin Diamond
ESIE semble sortie tout droit d’un roman de Ryu Murakami, l’auteur de Miso Soup, le pape de la subculture japonaise. Derrière ESIE (apocope de Poésie) se cache une chanteuse qui vient d’avoir vingt ans et qui mène de front une carrière de mannequin et de chanteuse underground. La quintessence de ses titres émane de ses états d’âme à fleur de peau. Une alchimie femme/machines qui remue les tripes.
Côté mode… ESIE a été l’égérie du magazine Non-No, à l’âge de 16 ans, l’équivalent de « Jeune et Jolie » chez nous (http://en.wikipedia.org/wiki/Non-no) Elle a ainsi defilé sur les podiums de Tokyo, et même participé à des publicités pour L’OREAL.
Côté scène... ESIE explore à travers ses textes les thèmes de la domination, la passivité, et la manipulation, mais aussi l’amour maternel, la solitude et le repli sur soi. Elle symbolise une nouvelle génération, antikawaï, l’envers du décor d’une société japonaise où domine le confort à tout prix et de la surconsommation. Son hypersensibilité nous fait frissonner d’émotion (Fallen, I will not sing in the rain), et nous entraîne dans des vertiges intérieurs Kafkaïen (Under my body)
Côté textes... ESIE n’a pas peur de dire : “Je suis moi-même”, dans un pays où l’on encourage plutôt le collectivisme et l’effacement de soi. Elle refuse le machisme, déteste la collectivité, bref, elle est aux antipodes de l’idéal féminin du pays du soleil levant. Un caractère tranché, incarné par une voix allant du son cristallin aux hurlements parfaitement maîtrisés. “Un corps humain peut se transformer en instrument de musique” affirme cette beauté étrange et magnétique.
Côté voix... ESIE est mise en en valeur avec habilité par son producteur Yoshimi Hishida, ancien collaborateur de Takeshi Kitano et Kinji Fukasaku (l’un des maîtres japonais des films de gangsters Yakusa). Les deux artistes revendiquent une influence commune : celle de Akira Miyoshi, musicien culte japonais, pionnier de la rencontre entre musique classique et électronique. Résultat : la musique d’Esie explose tous les codes : passant de ballades ambients et contemplatives, à des titres technos festifs, saturés, bleepés, décalés, allant jusqu’à l’électro punk limite pétage de plombs…Pas étonnant donc que ses nombreux fans sur Myspace la comparent une multitude d’artistes décalés : Bjork, Joy Division, Bauhaus, Siouxsie and the banshee, Brian Eno, New Order, Eurythmics, Depeche Mode, ou encore Marilyn Manson…
Côté Producteur... Yoshimi Hishida Né en 1966 à Tokyo, a fait ses premières armes dans la musique à 18 ans comme saxophoniste dans un groupe de rock. Habitué des studios Tokyoïtes, travaille ensuite sur des bandes originales de films. Pour Takeshi Kitano et Kinji Fukasaku (l’un des maîtres japonais des films de gangsters Yakusa). Il a aussi composé quatre albums, notamment avec le groupe Jobustu Project qui font de lui une des figures de proue de l’électronique nippone. Francophone, Yoshimi est aussi un organisateur de soirées électro françaises à Tokyo pour lesquelles il a déjà invité Mr Oizo, FEADZ, I:Cube, Dj Mehdi, Sir Alice, Birdy Nam Nam, Benjamin Diamond
Esie - Under My Body
Tournée Française :
- 24 Avril – PRINTEMPS DE BOURGES – Sélection pro
- 26 Avril – GLAZART – PARIS – TOKYO TENDANCE avec KOKUSYOKU SUMIRE
19:00 / 00:00
7/15 Av. Porte de la Villette- Paris
- 29 Avril – PENICHE BOER 2 – Showcase ESIE INVASION TOUR
avec XERAK (20 :00 / 22 :30)
Entrée gratuite - Péniche Boer 2 - Port de la Gare - 75013 Paris - Tél + 33 1 45 85 07 45
Mo Quai de la Gare - http://www.boer2.com/
- 30 Avril – L’OLYMPIA – MANGA PARTY AWARDS (+ guests)
- 24 Avril – PRINTEMPS DE BOURGES – Sélection pro
- 26 Avril – GLAZART – PARIS – TOKYO TENDANCE avec KOKUSYOKU SUMIRE
19:00 / 00:00
7/15 Av. Porte de la Villette- Paris
- 29 Avril – PENICHE BOER 2 – Showcase ESIE INVASION TOUR
avec XERAK (20 :00 / 22 :30)
Entrée gratuite - Péniche Boer 2 - Port de la Gare - 75013 Paris - Tél + 33 1 45 85 07 45
Mo Quai de la Gare - http://www.boer2.com/
- 30 Avril – L’OLYMPIA – MANGA PARTY AWARDS (+ guests)
Plus d'informations sur l'artiste :
Site officiel : www.esie.jp
MySpace officiel : www.myspace.com/esiemusic
Skyblog : http://esie.skyrock.com
